Ca revient à chaque fois !!!
| A chaque fois que je dis que nous jouons au Palais des Congrès de Châteauneuf-sur-Isère (NDLR : une salle de presque 900 places, unique dans notre région), les gens me regardent avec des yeux tout ronds et me répondent : « ou la, mais tu n’as pas le trac ? » Alors, à la veille de retrouver la scène, il est grand temps de répondre à cette question! |  |
On est bien d’accord, 800-900 personnes, ce n’est pas un Zénith mais nous ne sommes pas non plus des professionnels et cela suffit à faire peur :-) Alors, NON, le trac n’est pas une affaire de nombre de spectacteurs ou de dimension de salle. Et OUI, que tout le monde se rassure, même après des années, le trac est toujours présent et, tous autant que nous sommes sur scène, nous le ressentons avec plus ou moins d’effets secondaires.
Pour mon premier spectacle avec Eclats de Rêve, nous jouions au Train Théâtre de Portes-les Valence et nous devions entrer par le fond de la salle, plus précisément par le haut, ce qui sous-entend qu’il fallait descendre ces f** escaliers ! Et me voilà assise dans les escaliers d’accès, le trouillomètre à zéro, les jambes tremblantes et ne pensant qu’à une chose : ne pas tomber dans les escaliers !!
« L’ai-je bien descendu », me demanderez-vous ? Et bien, oui… enfin peut-être pas aussi bien que Cécile Sorel au Casino de Paris mais au moins sans tomber et bien cramponnée au bras de mon compagnon de scène.
Pour mon premier spectacle avec Eclats de Rêve, nous jouions au Train Théâtre de Portes-les Valence et nous devions entrer par le fond de la salle, plus précisément par le haut, ce qui sous-entend qu’il fallait descendre ces f** escaliers ! Et me voilà assise dans les escaliers d’accès, le trouillomètre à zéro, les jambes tremblantes et ne pensant qu’à une chose : ne pas tomber dans les escaliers !!
« L’ai-je bien descendu », me demanderez-vous ? Et bien, oui… enfin peut-être pas aussi bien que Cécile Sorel au Casino de Paris mais au moins sans tomber et bien cramponnée au bras de mon compagnon de scène.
Bonne nouvelle, ce n’est pas une maladie !
Ouf!! C’est même « normal », paraît-il. Comme avant un grand examen ou une intervention devant un groupe de personnes, une entrée en scène suscite un moment de peur passagère et plus ou moins intense selon l’enjeu et les personnes.
Mains moites, cœur battant la chamade, jambes qui flanchent, claquement de dents ou tremblements, les manifestations sont diverses et variées mais heureusement elles disparaissent en quelques secondes après l’entrée en scène.
Cela excite autant que cela permet de se surpasser, une bonne dose d’adrénaline qui vous dope si vous mettez en place quelques astuces pour éviter ou évacuer cette désagréable sensation.
Mains moites, cœur battant la chamade, jambes qui flanchent, claquement de dents ou tremblements, les manifestations sont diverses et variées mais heureusement elles disparaissent en quelques secondes après l’entrée en scène.
Cela excite autant que cela permet de se surpasser, une bonne dose d’adrénaline qui vous dope si vous mettez en place quelques astuces pour éviter ou évacuer cette désagréable sensation.
Rituels et Positive Attitude !
Rien de mieux pour se rassurer et utiliser son trac comme un moteur bourré d’adrénaline.
Plutôt que de visualiser la chute dans les escaliers, s’imaginer la tête haute, souriante, au bras d’un charmant jeune homme :-) ... plutôt que de s’entendre bredouiller les premiers mots de la première chanson, se voir chanter d’une voix claire des mots articulés sur des notes impeccablement justes. Et imaginer un public dynamique, conquis et nous gratifiant d’une émouvante standing ovation à la fin de la représentation.
Chacun aura son petit cérémonial, son rituel avant d’entrer en scène : « d’abord la chaussette droite, toujours », crier un grand coup dehors, porter ou toucher un gri-gri porte-bonheur, s’isoler pour écouter sa musique préférée,…
En misant sur une bonne préparation, un entraînement régulier et une concentration sur sa respiration, que ce soit pour entrer sur scène ou passer devant un jury d’examen, il n’y a plus rien à craindre. Alors, en piste !
Et vous, quels sont vos petits trucs pour surmonter ces quelques secondes interminables ? Laissez-moi vos petites astuces en commentaires, cela pourrait aider d'autres "traqueurs" alors n’hésitez pas et rendez-vous au Palais des Congrès :-)
Plutôt que de visualiser la chute dans les escaliers, s’imaginer la tête haute, souriante, au bras d’un charmant jeune homme :-) ... plutôt que de s’entendre bredouiller les premiers mots de la première chanson, se voir chanter d’une voix claire des mots articulés sur des notes impeccablement justes. Et imaginer un public dynamique, conquis et nous gratifiant d’une émouvante standing ovation à la fin de la représentation.
Chacun aura son petit cérémonial, son rituel avant d’entrer en scène : « d’abord la chaussette droite, toujours », crier un grand coup dehors, porter ou toucher un gri-gri porte-bonheur, s’isoler pour écouter sa musique préférée,…
En misant sur une bonne préparation, un entraînement régulier et une concentration sur sa respiration, que ce soit pour entrer sur scène ou passer devant un jury d’examen, il n’y a plus rien à craindre. Alors, en piste !
Et vous, quels sont vos petits trucs pour surmonter ces quelques secondes interminables ? Laissez-moi vos petites astuces en commentaires, cela pourrait aider d'autres "traqueurs" alors n’hésitez pas et rendez-vous au Palais des Congrès :-)
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